Quand Ernesto Che Guevera, leader de la révolution cubaine rend hommage à Patrice Lumumba, leader de l’indépendance congolaise.
« La bestialité de l’impérialisme, une bestialité qui ne connaît pas de limites, pas de frontières. La bestialité des armées d’Hitler,est comme la bestialité de l’Amérique du Nord, comme celle des parachutistes belges, comme celle de l’impérialisme français en Algérie. En effet, il est l’essence même de l’impérialisme de transformer les hommes en animaux sauvages, sanguinaires, décidés à abattre, tuer, assassiner et détruire le dernier vestige de l’image du révolutionnaire ou partisan d’un régime, qu’il écrase sous ses bottes parce que cela lutte pour la liberté.
La statue de Lumumba, aujourd’hui détruite mais reconstruite ce matin nous rappelle l’histoire tragique de ce martyr de la révolution mondiale et qu’il faut veiller à ne jamais faire confiance à l’impérialisme en aucune façon. Pas un iota! «
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